Au creux d’une poignée d’histoires, Juan Manuel chante les résistances et les coutumes de gens de la America morena. De landos en candombes, de chacareras en zambas, nous sillonnons el Rio de la Plata, puis nous nous figurons les Andes, en résonance avec les vers de Jorge Luis Borges, d’Atahualpa Yupanqui, ou encore de Violeta Parra. Les paroles des chansons sont en castillan ; Juan Manuel explique chacune d’entre elles, en français, en la rattachant à un fait historique, à une anecdote musicologique, à une question philosophique, à une rêverie commune…